Un programme de transition sociale, écologique et démocratique

Une ville de la biodiversité

• Inclure des clauses environnementales exigeantes aux marchés publics et notamment de travaux d’aménagement (coefficient  de biodiversité, coefficient de pleine terre…).
• Impulser les trames verte, bleue, noire et blanche avec les territoires voisins.
  • Trame blanche contre les nuisance sonores.
  • Trame bleue le long du canal. Lancement d’une étude sur la remise à l’air libre de la rivière enfouie de l’Espierre.
  • Trame verte, le long des voies ferrées désaffectées.
  • Trame noire, pour des corridors sans pollution lumineuse la nuit.
• Accompagner les propriétaires fonciers individuels et institutionnels dans la mise en œuvre de l’obligation réelle environnementale pour le maintien, la conservation, la gestion ou la restauration d’éléments de biodiversité dans les  espaces verts privés.
• Promouvoir et accompagner la végétalisation des façades privées.
• Promouvoir et accompagner l’exemplarité des jardins privés en terme de gestion de l’eau, de la biodiversité, et d’action climatique.
• Impliquer les bailleurs sociaux, s’il le faut par la contrainte, pour que les terres qu’ils gèrent s’inscrivent dans la démarche adoptée par la municipalité.
• Repérer et protéger les cœurs d’îlots végétalisés.
• Créer des continuités végétales locales entre espaces publics et/ou privés (mini-trames vertes).
• Accompagner les producteurs/productrices agricoles vers la résilience face aux aléas climatiques: privilégier, dans la commande publiques, les exploitations ayant recours à une diversité d’espèces et de variétés végétales et/ou animales.
• Interdiction des pesticides à moins de 100 m des habitations.
• Restaurer et construire des habitats pour les oiseaux, chauves-souris, insectes, …
• Plantations d’espèces mellifères et nourricières.
• Création d’espaces en évolution libre (non cultivés en régénération naturelle, résilients, dépolluants, économes en eau).
• Développer des grainothèques, associer le jardin municipal et les serres municipales afin d’aider les habitant-e-s à s’inscrire dans la protection des espèces locales.

Une ville à hauteur d’enfants

• A l’école, à la crèche,
  • Davantage de repas bios et locaux dans les cantines (production locale, légumerie municipale…), lutte contre le gaspillage alimentaire, alternative végétarienne quotidienne, deux jours végétariens par semaine. Sensibilisation au « bien-manger » avec des petit-déj à l’école.
  • Accueil de tous les petit·e·s Tourquennois·es dans les écoles de la commune et accessibilité renforcée pour les enfants en situation de handicap.
  • Apaisement et sécurisation des entrées et sorties d’écoles, en lien avec l’ensemble des acteurs (école, parents, riverain·e·s, …) pour des mobilités à faible émission de pollution : pédibus, vélobus…
  • Végétalisation et débitumation des cours d’école et des crèches pour en faire des oasis de fraîcheur et de verdure. Installation de potagers et mares pédagogiques.
  • Des ateliers pédagogiques périscolaires : nature, jardinage, zéro déchet, sensibilisation au respect de l’autre. Réelle formation continue des personnels assurant ces activités périscolaires.
  • Enseignements artistiques et sportifs décentralisés dans des écoles de quartier, en dehors du temps scolaire.
• Comme partout en ville !
  • Zones piétonnes dans chaque quartier et réseau de pistes cyclables sécurisées,
  • Aménagement d’espaces verts à moins de cinq minutes à pied de chaque Tourquennois·e.
  • Affichage public des mesures préconisées pour protéger les plus petits.

Une ville de l’écologie du quotidien

• Créations d’espaces verts à Tourcoing pour que chaque Tourquenois·e puisse profiter d’un espace vert à moins de 5 minutes à pied. Ces espaces seront co-aménagés avec les riverains.
• Création d’une ferme urbaine pédagogique au parc Clémenceau
  • Bergerie municipale, pour assurer un écopâturage à la place de la tonte mécanique.
• plantation de vergers et d’arbustes fruitiers librement accessibles.
• Végétalisations et réaménagement des rues avec les habitant·e·s, les assemblées de quartiers, en verdissant les toits, trottoirs, façades, avec des voûtes végétales (grimpantes), bandes fleuries, des jardinières et des plantes au pied d’arbres.
• Permis de végétaliser et permis de débitumer pour s’approprier la vie en ville.
• Jardins partagés et composteurs collectifs avec redistribution du compost dans chaque quartier.
• Réaménagement du Relais Nature du Canal de la Deûle à l’Escaut et la création d’un parc urbain.
• Gérer les parcs, pelouses ou prairies avec des essences locales et des plantes mellifères en atteignant progressivement 100% de plantes régionales adaptées aux changements climatiques et peu dépendantes d’apports en eau dans les nouvelles plantations (remplacements et créations) et les semis. Éviter les essences allergènes ou gérer leur implantation pour réduire leur impact.
• Bâtir une ville comestible: planter des arbres et arbustes fruitiers et/ou comestibles dans les espaces publics.
• ville 0 déchets
  • Poubelles de tri sur l’espace public.
  • Espace de donnerie à la déchetterie.
  • Aires de compostage à proximité de lieux clefs: école, transports en commun…

Une ville accessible à toutes et tous

• Une ville qui accompagne et sensibilise 
• Information des personnes sur leurs droits via les réseaux sociaux, le site de la ville, le journal municipal et des campagnes d’affichage.
• Engagement à rendre parfaitement accessible l’ensemble des bâtiments municipaux et à former le personnel municipal afin que chaque personne en situation de handicap puisse être accompagnée. 
• Organisation avec les associations dédiées de rencontres scolaires régulières pour intégrer le handicap à la vie commune. 
• Lutte contre les violences spécifiques faites aux femmes en situation de handicap.
• Développement de la pratique handisport en lien avec les associations sportives et soutien pour généraliser le sport adapté.
• Une ville enfin inclusive
• Concertation autour d’un Agenda 22 adopté la première année de mandat.
• Création d’une maison médicale de santé qui permettra à chacun d’accéder aux soins quelque soit sa situation ou pathologie.
• Déplacements facilités en élargissant les trottoirs, en limitant les obstacles sur la voie publique et mise à disposition de la navette pass tempo aux personnes à mobilité réduite.
• Amélioration de la signalisation dans la ville, les transports en commun, les bâtiments municipaux et accompagnement des commerçant·e·s.
• Inventaire public des places de parking dédiées aux personnes en situation de handicap et construction de places réservées en début et fin de rue à chaque réfection de voirie. Veille au respect de ce type de stationnement avec l’aide de la police municipale.
• Soutien aux projets visant à briser l’isolement et favoriser l’intégration des personnes isolées et/ou âgées.
• Travail de concert avec les associations comme l’Association des Paralysés de France, les Papillons Blancs… pour s’appuyer sur leur expertise et permettre à chaque personne en situation de handicap de s’émanciper.

Une ville au service de la santé de tou·te·s

• Un système municipal de santé
  • Désignation d’un·e Adjoint·e à la Santé et aux Handicaps pour que les politiques préservent et favorisent la santé de toutes et tous.
  • Cet·te adjoint·e sera avec la maire, garant·e d’un Hôpital Dron enfin digne d’une ville de 100 000 habitant·e·s : pérennisation de la maternité, adaptation de l’établissement à la crise climatique, création d’un jardin hospitalier autour du CH Dron, travail sur son accessibilité aux piétons et cyclistes.
  • Mise en place d’une mutuelle municipale assurant une couverture à celles et ceux n’en ayant pas encore.
  • Formation, au sein des quartiers de la ville, des “ambassadeurs/ambassadrices santé” pour informer et orienter sur la santé, au quotidien.
  • Accompagnement des jeunes dans leurs parcours santé (nutrition, addictions, bien-être psy…) dans un lieu convivial où ils et elles pourront se rencontrer et trouver des infos sur l’orientation, le logement, les prestations sociales…
  • Promotion des mobilités actives, bénéfiques pour la santé.
• Un environnement de santé
  • Apaisement et sécurisation des entrées des écoles, en lien avec l’ensemble des acteurs (école, parents, riverain·e·s…) pour des mobilités à faible émission de pollution : pédibus, vélobus…
  • Réseau de parcs et jardins rénovés et amplifiés afin de garantir un espace vert à moins de 5 minutes de toute habitation.
  • Vigilance afin de réduire l’impact des plantes allergènes et notamment via les menus de cantine pour limiter les allergies croisées .
  • Établissement d’un plan contre les nuisances sonores.
  • Lancement de l’opération «1 naissance = 1 arbre» soit la plantation d’environ 10 000 arbres au cours du mandat afin d’assurer un air pur aux générations futures.

Une ville avec un vrai mix de mobilité

• Favoriser les mobilités actives
  • création d’une délégation “mobilités actives”
  • Limitation de la vitesse à 30 km/h en ville 
  • Métro-minuto,
  • Information publique sur le forfait mobilité durable.
  • Plan vélo 
    • intégration de la ville dans le réseau express vélo de la MEL.
    • Création d’une flotte de vélos de service pour les agent·e·s de la ville.
    • Création de pistes cyclables bi-directionnelles.
    • Plan d’installation d’arceaux et d’abris à vélo confié aux assemblées de quartier.
    • Action municipale pour sanctionner le non-respect par les automobilistes des “sas-vélo” aux feux de circulation.
  • Plan piéton
    • mandat à la brigade de l’environnement et de la propreté pour veiller (information , accompagnement voire sanction) à ce que les trottoirs soient toujours praticables, notamment en poussette.
    • création de magistrales piétonnes: grands axes prioritairement piétons.
    • Élargissement des trottoirs de moins d’1m50.
  • En transports en commun
    • mise en place d’une ligne de bus à haut niveau de service sur le boulevard industriel, en attendant la mise en place du tramway Halluin – Pont de Neuville – Gare de Tourcoing – Roubaix – Villeneuve d’Ascq
    • Gratuité totale en 2025 et la gratuité pour les moins de 25 ans et le premier palier de tarification sociale, dès septembre 2020.
• Et parfois en voiture
  • maintien d’une deux fois une voie, à 50km/h, sur le boulevard industriel.

Une ville d’habitat social et écologique

• La moitié des surfaces vacantes doit être affectée à la réhabilitation/reconstruction de logement. Le reste destiné à la nature en ville.
• Tous les logements sociaux et très sociaux détruits dans la communes doivent être reconstruits dans la commune.
• Encadrement des loyers. 
• Mise en place au niveau métropolitain d’une structure de financement, sans reste à charge pour les propriétaires, de la rénovation énergétique grâce à un remboursement par les économies réalisées.
• Création d’un Organisme de Foncier Solidaire pour lutter contre la spéculation immobilière.
• Bourse d’échange entre locataires du parc social et en assurant une répartition équilibrée des logements locatifs sociaux entre les quartiers de la ville.En luttant contre la précarité en réduisant les délais d’intervention des services municipaux
• Viager solidaire municipale pour soutenir les personnes âgées en difficulté tout en augmentant le parc de logements sociaux de la ville.
• Accompagnement des projets d’habitats participatifs, partagés et/ou intergénérationnels.
• Création d’une vingtaine de places d’hébergement d’urgence pour les publics non pris en charge actuellement.
  • Femmes victimes de violences conjugales.
  • Sans-abris avec animaux
• Accompagnement des sans-abris vers du logement pérenne. 

Une ville de l’exemplarité climatique et environnementale

• Un·e 1er·e adjoint·e délégué·e à la transition écologique
  • Mise en place au niveau municipal et au sein de chaque assemblée de quartier d’une commission à la transition écologique avec pour fonction d’inclure les associations, de développer la végétalisation, la présence de l’eau et  la biodiversité et la prise en compte de la condition animale, mais aussi d’accompagner les habitant-e-s dans leurs actions (dont l’entretien) sur les espaces collectifs et/ou privés.
  • Établissement avec les commissions de transition des assemblées de quartier, un plan d’action dans chaque quartier. 
  • Affichage public des taux de pollution et des mesures de santé préconisées.
  • Nous évaluerons l’empreinte écologique de la commune de manière à réduire  son impact global, des habitant.e.s, acteurs.rices économiques…
  • Réalisation de diagnostics de biodiversité pour les bâtiments et espaces publics et les permis de construire
  • Inventaire de la faune et de la flore tourquennoise en y associant les associations, écoles et particulier·e·s volontaires. 
  • Avec cet inventaire, assurer le suivi de l’évolution de la biodiversité municipale.
  • Adoption d’un plan concerté d’accroissement de la biodiversité et de la gestion de l’eau
•  Un budget climatique municipal, visant zéro projet climaticide d’ici 2021.
• Ecoles “oasis”, accessibles, comme les parcs, en continu, les jours de canicule.
• Plan de perméabilisation des sols: remettre des espaces en sol végétalisé.
• Végétalisation des murs des bâtiments publics (écoles, cimetières) avec une diversité d’espèces.
• Adhésion de la ville à l’association de surveillance de la qualité de l’air (ATMO).

Une ville à l’espace public partagé.

• Deux écoquartiers
  • Réalisation de l’écoquartier tant promis de l’Union
  • Réorientation du projet de la Bourgogne
• Création de deux parcs de plus de 10 000 m2 à la Marlière dont un en jardin partagé.
• Parc urbain du Virolois
• Création d’une nouvelle place pour l’Epidème, rue d’Hondschoote
  • logements
  • commerces
  • crèche
  • jardin partagé
• Cogestion des espaces publics de quartier avec les assemblées de quartier
• Retrait des grilles du Fresnoy, boulevard Descats, pour permettre l’accès libre au jardin.
• Brigade de l’environnement et de la propreté pour accompagner les usages vertueux de l’espace public.
• Implantation de toilettes et de fontaines publiques gratuites.
• Programme de création de cabanes à livres.

Une ville où travailler et consommer localement.

• Centre-ville
  • Un espace à habiter
    • Établissement d’un état des lieux détaillé de l’ensemble des bâtiments avec visite.
    • Convocation en mairie des propriétaires ne respectant pas leurs obligations.
    • Si besoin, préemption ou saisie pour permettre la reprise par des propriétaires publics ou privés responsables, pour un parc immobilier durable et accessible à tou·te·s.
    • Portage au niveau métropolitain de la création d’une foncière solidaire locale pour l’acquisition et la valorisation de locaux vacants.
  • Un espace dynamique
    • Réorganisation des marchés du centre avec des étals harmonisés, organisés par  thématiques autour de l’artisanat, de la vente directe, du bio et du local.
    • Installation d’une halle alimentaire, pour la production locale, à la place de l’actuel hôtel des impôts.
    • Structuration d’un système de prêts et d’un parcours administratif unifié pour accompagner les commerces, nouveaux ou non, et faire vivre le centre. 
    • Priorité au petit commerce local qui donne une véritable identité au centre.
    • Bar associatif place Notre-Dame
    • Moratoire sur l’implantation et l’extension commerciale en périphérie de la ville.
  • Un espace à partager
    • Replantation d’arbres pour verdir le coeur de ville
    • Végétalisation des façades et trottoirs.
    • Organisation avec les commerçants de journées festives sans voiture pour préparer collectivement la piétonisation du centre-ville.
    • Transformation de l’ancienne surface commerciale, place Miss Cavell, en espace de loisirs dédié aux enfants.
• Création d’un espace collaboratif de l’artisanat, sur une friche du boulevard industriel.
• Étendre l’expérimentation « Territoire zéro chômeur de longue durée » à d’autres quartiers de la ville.

Une ville d’arts et de cultures

• Offre culturelle de qualité et de proximité
  • Création d’une université populaire écologique et culturelle, dans l’ancien cinéma de la rue Nationale, pour assurer la transmission de savoirs théoriques et pratiques à tou.te.s. 
  • Gratuité de l’ensemble du service public des médiathèques.
  • Possibilité de réserver des documents en ligne et de les récupérer dans les écoles hors temps scolaire.
  • Accompagnement renforcé pour permettre à tous les publics de se sentir bienvenus dans les médiathèques.
    • Horaires spécifiques dédiés et annoncés “À cette heure-ci, on peut faire du bruit”.
  • Développement des enseignements artistiques : aller vers un “conservatoire des arts”.
  • Décentralisation dans des écoles de quartier, des enseignements artistiques initiaux.
  • Offre d’activité artistiques variées pour les équipes pédagogiques volontaires.
• Valorisation de toutes les cultures tourquennoises
  • Renforcer l’activité de l’office du tourisme avec des découvertes nature et patrimoniales 
  • Réunir les scènes culturelles publiques et privées périodiquement pour favoriser la mise en réseau des projets.
  • Association des habitants et les habitantes de tous âges à la construction des programmes artistiques et culturels de la ville.
• Les arts et des cultures, un levier de réveil de la ville
  • En développant les expositions hors les murs et les scènes de rues à travers la ville, sur les places piétonnes, dans les vitrines de commerces vacants, dans les parcs et espaces verts…
  • En agissant auprès de l’Université de Lille et au sein de la MEL pour faire de Tourcoing le pôle universitaire artistique et culturel de la métropole. 
  • En co-construisant les programmations artistiques et culturelles avec les communes voisines afin de jouer la complémentarité et non la concurrence.

Une ville de la démocratie permanente

• Culture de la co-construction 

Les six premiers mois du mandat vont être consacrés à réunir les habitant·e·s, les associations et les collectifs de citoyen·ne·s en commissions dans les quartiers et au niveau municipal pour réorganiser notre fonctionnement démocratique local.

• A la rentrée 2020, les Assises de la citoyenneté tourquennoise permettront de fixer ensemble les règles des six prochaines années. C’est ainsi que les assemblées de quartiers seront refondées avec des commissions thématiques et dotées d’un véritable budget participatif dédié.
• Tirage au sort d’habitant·e·s volontaires chargé·e·s du contrôle des politiques publiques.
• Décisions municipales soumises au droit de référendum de censure, donné aux citoyen·ne·s
• Minorité municipale respectée. Les groupes auront droit à des moyens techniques et humains. Ils pourront participer à la Commission Consultative des Services Publics Locaux.
• Culture de la transparence
  • Enregistrement audio et vidéo des conseils municipaux et des séances publiques de travail.
  • Mise à disposition de la population d’un calendrier détaillé des réunions et instances pour que la population puisse exercer pleinement son engagement citoyen.
  • Citoyen·ne·s volontaires formé·e·s à l’exercice des compétences municipales et métropolitaine.
  • Accès garanti à l’ensemble des données publiques.
• Culture de l’exemplarité
  • Refus du cumul des mandats
    • Ni la maire ni aucun-e élu-e ayant une délégation ne cumulera avec un mandat électif (hors cadre métropolitain) ou gouvernemental.
    • Les élu-e-s communautaires (MEL) ne seront pas adjoint-e-s.
  • Citoyen·ne·s volontaires formé·e·s au contrôle des finances publiques.
  • Création d’une commission citoyenne de suivi de la commande publique pour examiner notamment leurs avenants et leurs contentieux
  • Engagement sur les propositions d’Anticor avec suivi annuel présenté publiquement de ces engagements.

Une ville où faire du sport

• Création d’une boucle sportive (marche, course, cyclisme) de 5 km au sud de la ville.
• Implantation d’une piscine sportive (avec un bassin homologué de compétition) à l’Union reliée au réseau urbain de chaleur.
• Garantir la place du sport loisirs au sein des équipements et associations sportives.
• Organisation de rencontres régulières afin de renforcer la coopération entre association sportive et publics divers.

Une ville féministe

• Établissement d’un diagnostic sur l’état des discriminations de genre dans les services municipaux
• Mise en place d’un plan d’action face à ces discrimination et suivi annuel public des résultats.
• Création d’un budget genré
  • Attention particulière sur les disparités dans le domaine du sport.
• Création d’une délégation à l’égalité femme/homme
• Autorisation de l’arrêt à la demande des bus après une certaine heure pour être plus proche de son domicile.
• Utilisation de l’écriture inclusive ou de mots épicènes
• Formation régulière pour les agent·e·s de la ville et les élu·e·s aux discriminations et aux violences sexuelles et sexistes.
• Organisation de marches exploratoires de façon à repérer les lieux peu rassurants de la ville et à les aménager avec les habitantes.
• Adoption du label “lieux sûr” : en mettant en place un partenariat avec les cafés, les restaurants, les commerce et lieux publics pour permettre aux femmes harcelées ou suivies dans la rue de trouver un refuge.
• Plan d’action sur la parité dans les dénominations des rues, places, ….

Une ville amie des animaux

• 1er adjoint aussi en charge de la question de bien-être animal avec un budget dédié à la condition animale
• soutien aux associations pour l’adoption d’animaux recueillis;
• développement des zones de nourrissage pour les chats et doublement du budget de stérilisation des chats errants avec la mise en place d’un accord tripartite entre la ville, des fondations et les associations locales pour multiplier par 4 le nombre de chats stérilisés chaque année : objectif 800 chats stérilisés par an.
• zones d’ébats pour les chiens et sessions d’éducation canine
• salons de la seconde chance 
• Interdiction stricte des cirques avec animaux.
• Gestion douce des animaux dits indésirables et doublement du nombre de pigeonniers
• Clause bien-être animal dans les appels d’offre, y compris pour les cantines scolaires
• Légaliser la présence des chiens dans les transports sans obligation de panier de transport
• carte des animaux domestiques, en cas d’accident les secours sont informés qu’ils peuvent contacter un proche ou la SPA pour prendre en charge l’animal de la victime
• Plusieurs solutions peuvent être mises en place comme travailler avec la SPA pour garder l’animal ou créer des espaces qui acceptent les personnes avec leurs animaux
• Faire du projet alimentaire territorial (P.A.T.) métropolitain un véritable outil de transition vers une agriculture plus respectueuse du bien-être animal et également plus végétale. 
• Inscrire dans les missions de la police municipale la lutte contre les maltraitances animales

Une ville associative

• Simplifier les relations entre associations, centres sociaux et commune
  • Aider  le tissu associatif à la constitution de dossiers de financement et/ou de partenariat en veillant à la place des petites associations. 
  • Organiser la coopération renforcée entre les différents secteurs de la vie associative.       
  • Permettre la mise en place de financements pluriannuels pour les associations en échange d’inclusion dans les dispositifs de sensibilisation culturelle, sportive, etc.    
• Les associer à la lutte contre la précarité et toutes formes d’isolement    
  • Veiller à associer toutes les associations et leurs équipements à la politique d’accès universel (femmes, personnes en situation de handicap, exilé·e·s, etc).    
  • Favoriser la culture associative    
  • Inclure les associations et les collectifs citoyens dans les assemblées de quartiers rénovées. (lieux dédiés dans la lettre).
  • Permettre l’accès pour les associations à l’Université Populaire écologique et culturelle.        
  • Simplifier l’accès aux salles municipales pour l’ensemble des acteurs/actrices de la vie politique et associative.